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  • : le blog autourdulivre par : Liliane
  • : Mes livres préférés, mes auteurs favoris, des photos de voyages et d'activités diverses,parfois de petites infos dans la rubrique "Page", voilà ce qu'on peut découvrir dans mon blog!
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Auteur

  • Liliane

Texte libre

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Ce blog est destiné à recueillir des impressions sur mes différentes lectures!

Comme tous les passionnés, il m'arrive de ne pouvoir faire autre chose que de lire et de ne point lâcher mon livre tant qu'il n'est pas terminé!

Les livres que je propose n'entrent pas dans une catégorie particulière. Vous pourrez trouver aussi bien des romans que des ouvrages sur la politique. J'en présente parfois un résumé ou quelques éléments qui en suggérent le contenu, une certaine façon de créer une complicité avec ceux qui connaissent déjà ces  lectures et pour ceux qui les découvrent de leur donner envie de s'y "plonger"!

Ce blog n'est  en aucun cas orienté.

Mes choix se font au hasard de mes flâneries dans les librairies, par rapport à l'actualité du livre ou bien par mes coups de coeur.

          Liliane  
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Archives

24 janvier 2009 6 24 /01 /janvier /2009 15:05

FLIC, tout simplement
Martine MONTEIL

Editions Michel Lafon 300 p.

          Mieux qu'un film policier, plus palpitant qu'une série à succès, Martine MONTEIL,
dans ses mémoires, nous raconte sa vie, une vie hors du commun, celle d'une femme-flic, une profession qui fascine.
Un parcours exemplaire dans une époque où il n'était pas dans l'air du temps pour une femme d'occuper des postes à responsabilité, dans une profession "que l'on dit généralement réservée aux hommes".
            De commissaire de quartier, elle gravira toutes les marches  jusqu'au  36 Quai des Orfèvres, lieu mythique dont elle a toujours rêvé, et à chaque fois elle sera la première femme à accéder à la plus haute responsabilité. Elle dirigera tour à tour  La Brigade des stups, La Mondaine, La Crim, puis deviendra le "Patron"de la PJ. Enfin, elle sera nommée préfet-secrétaire général de la Zone de défense de Paris. 
            Ce sont les plus grandes affaires criminelles, les plus horribles, les plus difficiles à élucider qui jalonneront sa vie:
les attentats de 95, les tueurs en série Guy Georges, Mamadou Traoré, l'accident qui a coûté la vie à Lady Di... Une réussite totale pour cette femme de terrain, sensible et profondément humaine, qui a toujours su fédérer ses équipes et "tisser des liens entre les services pour une plus grande efficacité"...
A propos, la guerre des services n'existe pas que dans les films et on en découvre un épisode croustillant!
Oui, vraiment, une vie hors du commun qui mérite toute notre admiration.

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14 janvier 2009 3 14 /01 /janvier /2009 16:41

Editions XO 420 p.

           Dire que j'ai lu "Le procès de la momie" avec autant d'intérêt et de plaisir que les trois volumes du "Le Juge d'Egypte"(La pyramide assassinée, La loi du désert, La justice du vizir), les quatre de "La pierre de lumière" (Néfer le silencieux, La Femme sage, Paneb l'Ardent, La Place de vérité) ou les cinq"Ramsès" serait faux.
           J'avais retrouvé dans ces romans les paysages et les sites grandioses que j'ai visités, passionnée par cette civilisation et surtout, les intrigues qui étaient nouées très subtilement se dévoraient.
           Ensuite, avec la lecture de "L'arbre de vie", roman que je n'ai pas vraiment aimé car trop de longueurs, j'ai un peu décroché des romans de C. Jacq.
           Cependant ma passion de l'Egypte s'est récemment ravivée en visitant la somptueuse exposition "Bonaparte et l'Egypte"(jusqu'au 29 mars à Paris, Institut du monde arabe) et dans la foulée je me suis laissée tenter par "Le procès..."
           Bien que je n'aie pas ressenti une très forte émotion en lisant ce roman, j'ai tout de même apprécié le support historique  de la vie mouvementée de Giovanni Battista  Belzoni, aventurier du début du XIX ème siècle et découvreur du temple d'Abou Simbel et de plusieurs tombes royales de la Vallée des rois; il ouvre aussi la pyramide de Khéphren. Enfin, il devient un pourvoyeur important d'antiquités vers l'Europe.
           A la fin du livre un document sur le mystère des momies avec des photos, complète les indications authentiques fournies tout au long du roman.

Quatrième de couverture (extrait):
Londres, 1821. Un événement extraordinaire ameute le Tout-Londres aristocratique: de retour d'Egypte, l'aventurier Giovanni Battista  Belzoni organise la première exposition consacrée à l'art égyptien et s'apprête à enlever, en public, les bandelettes d'une surprenante momie. L'assistance retient son souffle: le corps est si parfait, si bien conservé, qu'il paraît vivant...
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13 janvier 2009 2 13 /01 /janvier /2009 13:24

Les hommes qui n'aimaient pas les femmes
STIEG LARSSON


Editions Actes sud
575 p.

Premier volume du MILLENIUM (trois en tout, le quatrième ayant été interrompu par le décès de l'auteur).

Les trois volumes sont parmi les meilleures ventes depuis des semaines.
Un peu réticente comme toujours devant un tel emballement médiatique je résiste à l'achat; mais la rumeur amicale qui m'entoure et qui confirme l'attrait des lecteurs pour cette trilogie me pousse à y voir de plus près.
Verdict: j'ai dévoré les 575 pages en trois jours!...Rythme relativement court pour "quelqu'une" qui souvent mène de front plusieurs lectures.
Bien sûr que Mikael Blomkvist  dont on découvre progressivement qu'il est plutôt séduisant, du style tendre sous une peau de journaliste bien tannée est le genre de héros avec qui on aimerait bien s'isoler dans une île perdue du fin fond de la Suède...ce qu'il fera, quelque peu contraint, pour les besoins d'une enquête dans laquelle il entre à reculons. Mais peu à peu il y plonge toute  sa vie, se mettant en danger de mort.
Autour de lui plusieurs femmes que tout oppose vont l'aider à se tirer d'affaire ...et une autre en filigrane, obsédante...Toutefois, l'implication de Lisbeth est déterminante. Sa personnalité de marginale transforme certaines situations  de façon géniale; on se demande de quoi elle est capable encore pour atteindre les buts qu'elle s'est fixés.
Ce roman est un chef d'oeuvre de suspense, de rebondissements, un véritable puzzle dont les morceaux les plus éloignés
vont se raccorder incroyablement.

Quatrième de couverture:
Ancien rédacteur de Millénium, revue d'investigations sociales et économiques, Mikael Bromkvist est contacté par un gros industriel pour relancer une enquête abandonnée depuis quarante ans. Dans le huis clos d'une île, la petite nièce de Henrik Vanger a disparu, probablement assassinée, et quelqu'un se fait un malin plaisir de le lui rappeler à chacun de ses anniversaires...

Extrait:
Après avoir raccroché, l'homme qui fêtait ses quatre-vingt-deux ans resta un long moment sans bouger à contempler la belle mais insignifiante fleur australienne dont il ne connaissait pas encore le nom. Puis il leva les yeux vers le mur au-dessus du bureau. Quarante-trois fleurs pressées y étaient accrochées, encadrées sous verre, formant quatre rangées de dix fleurs chacune et une rangée inachevée de quatre tableaux. Dans la rangée supérieure, il en manquait un. La place n°9 était béante...
Pour la première fois, cependant, quelque chose se passa qui rompit la routine des années précédentes...

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 11:00

Centième article !!!

(voir page)

Les jeux de l'amour et de la mort

Fred VARGAS

 

Editions du masque 190 p.

 

         J'aime beaucoup les énigmes ficelées à la sauce Vargas...sans doute vous en étiez- vous aperçus (c'est le cinquième titre sur ce blog)...Après la lecture de son dernier roman "Un lieu incertain" j'ai voulu  remonter à la source de sa notoriété.

          "Les jeux de l'amour et de la mort "est  donc son premier roman  publié en 1986 et il a obtenu le prix du festival de Cognac.

          Ce roman est plein de promesses, que la suite a confirmées, les graines de qualité sont bien semées même si parfois sa verve n'a pas encore la patine du temps, forcément.

           Déjà de l'humour, de la dérision et une histoire dont on ne peut imaginer l'épilogue...

 

           Tom est peintre parmi tant d'autres et Gaylor, peintre contemporain célébrissime est son idole. Pour l'approcher il est prêt à tenter l'impossible. Mais manque de chance, le "grand soir" qui va concrétiser son rêve lui apporte une belle surprise dont il se serait passé: un cadavre....et tout l'accuse de ce meurtre. Pas encore Adamsberg pour dérouler les fils de cet imbroglio mais un flic très sympa est mis en scène...

           Le comportement de Tom dans la bibliothèque est amusant; on dirait une jeune fille amoureuse qui se cherche une contenance...Il me fait penser à Benjamin Malaussène de Pennac.

 

           Vite lu, on passe un agréable moment.

 

Extrait:

 "Deux jours plus tard, on relâcha Tom sans un mot. On lui fit signer des dizaines de papiers et on lui rendit sa veste et son portefeuille. Il pensa à réclamer ses lunettes noires. Tout ce qu'il savait c'est qu'il n'avait pas le droit de quitter Paris sauf motif grave dont il aurait à avertir la police. Et que de toutes manières  on le tiendrait à l'oeil."

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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 19:12

Le Parfum
Patrick Süskind

Poche 280 p.

En 1986 Patrick Süskind publie un premier roman "Le Parfum", véritable chef- d'oeuvre.
Superbement horrible, si vous permettez cet antagonisme!
Des fragances envoûtantes et rares qui sautent aux narines d'un bout à l'autre de ce roman mais aussi les autres, les repoussantes, les innommables...
Histoire d'un parfumeur hors pair, homme de génie, qui sombre dans la folie.
Magistralement écrit dans une plume diaboliquement experte.


Quatrième de couverture 

Au XVIIIème siècle vécut en France un homme qui compta parmi les personnages les plus géniaux et les plus horribles de son époque. Il s'appelait Jean-Baptiste Grenouille. Sa naissance, son enfance, furent épouvantables et tout autre que lui n'aurait pas survécu. Mais Grenouille n'avait besoin que d'un minimum de nourriture et de vêtements, et son âme n'avait besoin de rien.
Or ce monstre de Grenouille, car il s'agissait bel et bien d'un genre de monstre, avait un don, ou plutôt un nez unique au monde et il entendait bien devenir, même par les moyens les plus atroces, le Dieu tout-puissant de l'univers, car " qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur des hommes ".


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